Bon, de retour sur cette page après une si longue absence…
et une phrase sur laquelle réfléchir, lue quelque part mais dont j’ai oublié de noter l’auteur.
« L’aigle ne perdit jamais autant de temps que lorsqu’il se résigna à écouter le corbeau ».
Ceux qui sont de la famille des aigles comprendront sans nul doute…
Ceux qui appartiennent aux corbeaux, c’est moins sûr !
J’adore !
Sirotez l’été, inventez un nouveau cocktail, marchez le long des océans, scintillances, abandon et fulgurances…
Sylvine